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Sujet du T.P.E : La sécurité à Nîmes.


En début d’année, nous avons hésité entre plusieurs problématiques. Nous avons finalement décidé de traiter le sujet de « la sécurité » qui fait partie de la rubrique « Pouvoirs et société ». Mais celui-ci était trop vaste et le fait d’étudier la sécurité à l’échelle nationale nous aurait pris trop de temps par rapport aux délais donnés par les professeurs, Mme Arnaud, professeur d’histoire / géographie et M.Aicart, professeur d’économie. Hadrien et moi-même (Sophie étant arrivée au cours du mois de septembre suite à un changement de classe) avons pris note de tous les conseils et avons décidé de travailler sur la sécurité à Nîmes. Ce choix n’est pas dû au hasard. En effet, nous avons tous les deux un lien direct avec la sécurité. Nous avons la chance d’avoir chacun, un de nos parents qui travaille dans la sécurité publique ou privée. Notre prestation traite de la sécurité publique. Notre travail est composé de documents textes, de cartes, de graphiques et de tableaux. Beaucoup de chiffres et de comparaisons sont cités dans notre T.P.E afin de mettre en évidence les spécificités de la ville de Nîmes. Les jours passaient, nous avancions notre travail mais nous n’avions toujours pas de question précise. C’est en présentant notre travail et en évoquant notre difficulté à trouver une question que nos professeurs nous ont conseillé : « Nîmes, est-elle armée contre la délinquance ? » Voilà la question sur laquelle nous avons ciblé notre travail.

Nous avons choisi une présentation classique du dossier : Un support rédigé sur l’ordinateur illustré de graphiques, de schémas et de tableaux. Nous avons utilisé Word ainsi qu’un logiciel de graphiques que Sophie possède. Nous n’avons pas souhaité utiliser un support plus complexe car cela nous aurait probablement posé quelques problèmes pour le présenter devant les professeurs.

Nous n’avons pas rencontré de réel problème lié à ce travail. Les trois parties se sont dessinées de façon évidente : Les statistiques, les forces en présence pour lutter contre la délinquance à Nîmes (Les différentes polices) et la politique de prévention nimoise (2 outils). Cependant, les statistiques ont été plutôt compliquées à obtenir. Les différents intervenants ne souhaitaient pas toujours nous donner des chiffres précis. Nous avons tout de même réussi à réaliser des tableaux statistiques complets au fil des rendez-vous. La préfecture nous a été d’un grand recours pour satisfaire notre demande.

En ce qui concerne mon implication, mon point faible étant l’oral, j’ai préféré relayer Sophie pour la prise de notes lors des différents entretiens. Hadrien s’occupait de poser les questions aux personnes que nous rencontrions. De ce fait, chacun avait un rôle défini et nous avions tous les éléments utiles à la rédaction du dossier. De plus, je consacrais du temps à la recherche de documents, ce qui est essentiel pour que le dossier soit attrayant. Je ne peux dire combien de temps j’ai consacré aux T.P.E car cela variait en fonction des différents rendez-vous pris et de la recherche de documents qui était différente de semaine en semaine.

En conclusion, le travail achevé répond aux objectifs fixés en début d’année. De plus, nous avons rencontré des personnes disponibles, ouvertes et prêtes à nous aider dans la réalisation de notre T.P.E. Certains d’entre eux nous ont même demandé de garder le contact et de leur communiquer les notes que nous aurons obtenu pour ce travail ainsi que de leur fournir une copie de notre dossier.
J’ai apprécié ces travaux personnels encadrés car le fait de travailler en groupe me motivait et me donnait une obligation de résultat. Grâce aux T.P.E, j’ai appris à travailler de façon organisée et ce travail m’a permis d’améliorer ma prise de notes. Le bilan est donc positif d’un point de vue scolaire et personnel.