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faut voir je vous tiendrais au courant de la suite

Cyclisme - Giro 2008 - La sélection fait débat



Cinq jours après l'annonce des 21 équipes retenues pour prendre le départ du Giro, Pat McQuaid s'est montré mercredi très critique à l'égard des organisateurs de la course (RCS). «Je ne comprends pas», a-t-il ainsi déclaré en référence notamment à l'absence de quatre formations du ProTour (Astana, Bouygues Telecom, Crédit Agricole, High Road). «C'est un retour en arrière de vingt ans», a estimé le président de l'UCI. «OK, le nouveau règlement donne le droit à l'organisateur d'inviter qui il veut. Mais tout le monde sait qu'il y a une hiérarchie, des épreuves mais aussi des équipes».

Principale cible de ces critiques ? Angelo Zomegnan, le directeur du Tour d'Italie. Pis. Pour McQuaid (Photo L'Equipe), le dirigeant transalpin est bien l'unique responsable de ce choix. «Voilà ce qui se passe quand on laisse faire un organisateur». «Il dit que son épreuve est l'un des plus grands évènements de la saison et il ne prend pas les meilleures équipes.»

Alors certes en 2008, le Giro s'élancera donc avec un peloton amputé de certaines de ses équipes phares. A l'avenir en revanche, il y a peu de chances qu'une telle situation se reproduise... «A mon avis, il faudra revenir à des règles de participation. L'organisateur doit avoir des responsabilités pour l'organisation de sa course, pas pour la participation». Comme l'a assuré McQuaid, la sélection des équipes retenues pour le Tour de France devrait quoi qu'il en soit permettre d'y voir un peu plus clair : «Il n'y a aucune raison pour qu'Astana ne soit pas invité». Mais comme personne n'est jamais à l'abri, la polémique est loin d'être terminée. (Avec AFP)

Je pense que c'est le nationalisme italien qui l'emporte, il prefere voir un Giro avec des formations italiennes, plutot qu'avec les meilleurs... C'est comme si on refusait High Road,Gerolsteiner, Saunier Duvale... Pour prendre Auber 93, VC la Pomme...

la je suis daccord

interview de calzatti

Sylvain Calzati, comment va votre santé ?
J’ai pris le temps de me soigner après le Tour. J’ai été au soin pendant deux mois au centre médico-sportif de Gerland. Ça a été éprouvant mentalement et physiquement mais tout est résolu. L’année 2008 commence de la meilleure des manières puisque je suis parti en Australie avec une bonne préparation et une belle course. Tout se déroule bien pour faire une bonne saison. Les saisons paires me réussissent particulièrement. Je suis assez superstitieux donc 2008 ne peut être que meilleure que 2006.

Quel est votre niveau actuel ?
Pour un mec qui n’a pas couru depuis le mois de juillet, je trouve que je ne m’en suis pas trop mal sorti sur le Tour Down Under. Je suis dans un état de forme correct. J’espère être très bien pour le Paris-Nice et super bien pour le Giro. Le destin fera le reste. Je m’applique tous les jours à l’entraînement pour pouvoir réussir.

Comment s’est passée la préparation hivernale ?
Très bien. Je me suis préparé de la même façon que les années où j’ai marché. L’année passée était une saison différente avec pour seul objectif personnel le Tour de France. On peut dire que ma saison était ratée. Si j’avais fait un Tour de France sans blessure, on aurait dit que j’ai réussi ma saison. C’est toujours facile de dire qu’une saison est ratée quand on loupe un objectif. C’est le sport de haut niveau qui veut ça. On repart sur une nouvelle année avec des objectifs beaucoup plus divers.

« Je mise énormément sur le Giro »

Quels seront ces objectifs ?
J’espère être très bien pour le Paris-Nice. Je mise énormément sur le Giro. Je vise le classement général cette année. Il ne faut pas que je m’en cache, c’est un objectif que je me suis fixé. Si je finis dans les quinze premiers, je serai super satisfait. Si en plus je peux jouer une victoire d’étape, je ne vais pas freiner pour ne pas la gagner. Je me fixe là-dessus et j’espère que ça sera réalisable.

Pourquoi le Giro plus que le Tour ?
J’ai besoin de faire des courses pour marcher sur le Tour et je pense que le Giro sera un bon baromètre pour me jauger sur une épreuve de trois semaines pour le classement général. Dans l’optique, pourquoi pas, de viser quelque chose sur le Tour. J’arrive à un âge où il faut que je prenne plus de responsabilités, sans être prétentieux ni démesuré dans mes objectifs. Le Giro est plus dans mes cordes que le Tour pour le moment. Je suis encore un peu trop tendre dans les contre-la-montre. On verra si ça marche. Il faut prendre des risques.

Le départ de Moreau peut-il être une bonne nouvelle pour vous ?
Le départ de Christophe va faire un grand vide car il nous apportait beaucoup dans l’équipe. Je l’appréciais énormément. C’était le meilleur Français. On ne pouvait pas avoir mieux comme leader. Ça va être une approche complètement différente sans Christophe. Nous aurons plus de chances mais il ne faudra pas se tromper et ne pas vouloir toujours tirer la couverture à soit. Le tout sera de jouer franc-jeu quand il faudra prendre des décisions importantes.

Vous devenez désormais un cadre de l’équipe…
Je vais avoir une importance supplémentaire dans l’équipe mais je ne me sens certainement pas comme un chaînon indispensable. Je fais partie d’un puzzle. J’ai passé une saison 2007 en demi-teinte. Il faut donc que je rassure tout le monde, que je sois présent et qu’on puisse compter sur moi. Les cartes sont entre mes mains.

« On tape beaucoup trop sur le vélo »

Que pensez-vous du programme ADAMS ?
C’est un sujet très compliqué. Je suis contre le dopage mais je ne suis pas sûr que ce soit la meilleure des façons de l’éradiquer. C’est plus une question de gros sous et de sur-médiatisation du dopage dans le vélo. On est pris pour cible sans avoir aucun mot à dire. Si on parle, soit on est dehors, soit on est catalogué comme dopé. C’est une situation qui est vraiment très délicate pour nous coureurs et pour les sponsors. ADAMS est mis en place, il faut s’y plier. On n’a pas notre mot à dire.

Le cyclisme est-il trop pris pour cible ?
A mon goût, on tape beaucoup trop sur le vélo. On noircit le tableau. Certes, il y a des affaires de dopage. C’est vraiment dommage de prendre le vélo pour cible. C’est super rageant de voir toutes les affaires de dopage sur le Tour. Quand on voit un footballeur tombé sur un terrain, personne ne s’en émeut et personne ne se pose des questions : pourquoi il a fait un arrêt cardiaque alors que c’est un sportif et qu’il devrait être en pleine possession de ces moyens ? Ça me fout les boules. Je trouve immoral et irrespectueux de ne pas mettre tous les sports sur un même pied d’égalité.

Ce programme a comme but d’éviter un nouveau cas Rasmussen…
A partir du moment où nous n’avons rien à cacher, je ne vois pas pourquoi on nous demanderait notre emploi du temps. La liberté personnelle n’existe plus dans le vélo. Je me vois mal subir un contrôle inopiné alors que je suis en vacances avec ma famille devant des milliers de personnes qui ne me connaissent pas et que je ne connais pas. Je me sentirais mal à l’aise si je suis dans un hôtel et qu’une personne débarque pour un contrôle inopiné. Je trouve ça complètement irrespectueux et immoral de procéder de cette façon. Mais on est obligé de le faire. Ce n’est pas de gaieté de cœur. Non pas pour tricher ou cacher quelque chose. Loin de là. Je vais certainement faire un stage en Italie pour préparer le Giro en latitude, je serai le premier à donner mon adresse. Ils peuvent venir me voir quand ils veulent, il n’y a aucun problème. La façon dont ça se passe n’est pas très déontologique.

interview de sebastien joly

Sébastien Joly, vous allez faire votre rentrée au Grand Prix de la Marseillaise, dimanche, après une longue maladie. Dans quel état d’esprit êtes-vous ?
Je suis content. A aucun moment je n’ai été impatient. Nous avons fait les choses progressivement. Symboliquement, de pouvoir faire l’ouverture avec tout le monde en France, c’est bien. Ça me permettra de revoir tout le monde, que ce soit les potes de mon équipe mais également les coureurs des autres formations. Si j’avais fait ma rentrée à Majorque, je n’aurais peut-être pas eu l’occasion de les voir. En plus, c’est une course d’un jour, à deux heures de chez moi. Toutes ces petites choses me font plaisir.

Vous étiez-vous fixé une date limite pour la reprise ?
En novembre, je m’imaginais reprendre fin février, début mars. Mais en décembre, on s’est rendu compte que ça allait assez bien. Les deux stages de janvier ont été deux bons tests. Ils m’ont fait prendre conscience que physiquement, j’allais bien. Même par rapport aux autres coureurs qui allaient bien. Il n’y avait pas de grosses différences entre eux et moi. Avec Fred Grappe, l’entraîneur de l’équipe, nous nous sommes dit qu’attendre pour attendre ne servait à rien. Je ne voulais prendre le train en route et sans cesse repousser l’échéance. Je reprends comme les autres, comme un coureur « normal ». C’est ce que je veux.

On sait que Marc Madiot est proche de ses coureurs. Comment s’est comportée la Française des Jeux pendant votre maladie ?
Marc a été très présent tout de suite. Même sans connaître la gravité de la maladie, il m’a fait comprendre qu’il n’y aurait aucun problème pour renouveler mon contrat. C’est une preuve de franchise. Autant lui que toute l’équipe, tout le monde a été très présent pendant la maladie. J’ai également eu des messages amicaux du peloton français et étranger.

« Je ne veux pas faire de ma maladie mon fonds de commerce »

On imagine que cela fait chaud au cœur…
Oui car c’est sincère. Pendant le Tour, ils m’ont montré qu’ils avaient envie de bien faire et qu’ils avaient une pensée pour moi. Quand on est loin de tout ça et qu’on entend ces messages d’encouragement, ça fait chaud au cœur.

On a également évoqué le soutien de Lance Armstrong…
Il m’a envoyé un mail au début de la maladie. Etant passé par là, il me lançait un message de soutien. Je lui ai répondu gentiment que je venais de l’apprendre et que j’avais besoin de temps et des médecins pour me soigner. A cet instant, son geste était sympa mais j’avais plus besoin des médecins. Si un jour on a l’occasion de se voir, on pourra peut-être parler de ce qu’on a vécu mais il faut minimiser les choses. Lui est passé tout près de la mort. De mon côté, il n’y a jamais eu pronostic vital. Je ne veux pas minimiser ma maladie mais je ne veux pas en faire mon fonds de commerce. J’avais un bon niveau l’année dernière, j’espère le retrouver et je veux qu’on parle de moi à travers le sport. D’ailleurs, je n’avais pas à en parler aujourd’hui, c’est quelque chose que j’ai mis dans un coin de ma tête. La maladie est derrière moi. Ce n’est pas le coureur cycliste qui a été touché mais l’homme.

Avez-vous établi des objectifs pour cette saison avec Marc Madiot ?
Au moment où on a établi les programmes de course, il m’a dit qu’il me laissait le temps de me remettre. Il ne m’a mis aucune pression. Sur la présentation de l’équipe, il a tenu à me faire un petit clin d’œil en me disant que le meilleur était à venir. Me mettre la pression serait peut-être la moins bonne chose qui puisse m’arriver. Marc sait que je suis professionnel et que je ferai les choses dans l’ordre pour revenir à mon meilleur niveau. Il me fait entièrement confiance.

« Reprendre la compétition n’est qu’une étape »

Quel va être votre programme ?
Pour le gros, il y aura beaucoup de similitudes avec les autres années. Je devrais notamment faire une coupure en avril car je suis gêné par les allergies. Mais pour le moment, je prends les courses les unes après les autres. Je ferai un bilan fin février, début mars. J’attends de me tester en compétition. Et puis reprendre la compétition n’est pas une fin en soi. Je veux retrouver mon niveau. Pour le moment, ce n’est qu’une étape, certes importante, mais une étape. Pour parler course, le Critérium du Dauphiné libéré me tient à cœur. Pas seulement parce qu’il s’agit de ma dernière course 2007 mais aussi parce que c’est une course qui me convient bien et que je la cours à domicile.

Où en êtes-vous physiquement ?
J’ai beaucoup perdu de poids au début de ma maladie après la radiothérapie. A cet instant, je ne me suis pas pris la tête. Je n’ai pas pensé à mon poids. Je me suis dit que mon corps avait subi un traumatisme. J’ai mangé normalement, à ma faim. J’ai alors repris un poids intermédiaire. J’ai laissé mon corps parler. Encore une fois, il ne peut pas y avoir d’enseignement. Je dois attendre d’avoir repris la compétition. Mon corps évolue encore.

Désormais, il ne manque que la compétition…
Même si je suis dans le dur au début, je serai patient. Je ne poserai pas trop de questions. Je veux pratiquer mon métier et ma passion. C’est une des choses les plus importantes.

le GP de marseille est passé maintenant non??

vi c'est une interview que j'ai ressortis j'avais oublier de vous la mettre lol

Ok pas de soucis, toujours bon à lire

les engagés de paris-nice connus le 19 fevrier


La liste des équipes engagées pour le prochain Paris-Nice sera dévoilée le mardi 19 février, ont indiqué les organisateurs de l'épreuve.


Quels invités pour Paris-Nice ? Les organisateurs dévoileront mardi 19 février lors d'une conférence de presse de présentation de l'épreuve à l'Espace Jean Vilar à Amilly la liste des formations retenues pour l'édition 2008 (9-16 mars).

Au moins y'aura les PT??
Prologue toujours à Issy les Moulineaux?

je sais pas le parcours est donné en meme temps que les equipes je me renseigne et je te dit dans la journée

J'ai vu plein de cyclistes et plein de flics quand je suis revenu du lycée Il y avait Bretagne Armor Lux, BTL, Cofidis et plein d'autres ! J'étais pas au courant

bien tu vois ce que tu rate lol

Cyclisme - Côte étrusque - Petacchi au départ


Vainqueur des trois dernières éditions, l'Italien Alessandro Petacchi, de l'équipe Milram, sera au départ du Grand Prix de la Côte étrusque couru samedi, à Donoratico, en Italie. Cette épreuve lance traditionnellement la saison de l'autre côté des Alpes. Grand favori de la course, le Ligurien pourra compter sur plusieurs éléments de son «train» habituellement chargé de lui emmener les sprints (Velo, Ongarato, Rigotto, Diudia).

pour paris - nice un apercu du profil

C'est à Amilly, dans le Loiret, le 9 mars prochain, que Paris-Nice édition 2008 s'élancera. La première étape sera disputée sous forme d'un contre-la-montre.

Si notre région n’avait accueilli qu’une seule étape (Sorgues - Manosque) lors de la dernière édition, le Paris-Nice 2008 (9-16 mars) y fera escale durant trois jours. Le jeudi 13 mars, une arrivée d’étape sera jugée dans le Ventoux, à hauteur du Mont-Serein. Le lendemain, le peloton s’élancera du Vaucluse (dans une commune restant à déterminer) pour rallier la ville de Sisteron. Cette dernière sera également le théâtre d’un départ, direction Cannes très vraisemblablement, le samedi 15 mars.

Sisteron renoue ainsi avec une épreuve qui faisait fréquemment escale au pied de la somptueuse Citadelle il y a quelques années. Le grand départ de ce Paris-Nice sera donné d’Amilly, près de Montargis.

Vous êtes a la bourre pour les étapes... c'est déterminer depuis un mois
J'vais chercher sa tout de suite

Dimanche : AMILLY----AMILLY
lundi : AMILLY----NEVERS
mardi : NEVERS----BELLEVILLE/SAONE
mercredi : FLEURIE-----St ETIENNE
jeudi : MONTELIMAR----MONTSERAIN (Mt Ventoux)
vendredi : ??????? ----SISTERON
samedi : SISTERON----CANNES

Le vendredi le départ sera à Althen des Paluds (84)

Tour mediteraneen


Le staff de l'équipe AG2R a communiqué l'équipe qui disputera le Tour Méditerranéen du 13 au 17 février. La course se composera de cinq étapes.


Coureurs
Jose Luis Arrieta, Sylvain Calzati, Cyril Dessel, Renaud Dion, Yuriy Krivtsov, ; Julien Loubet, Lloyd Mondory, Rinaldo Nocentini

Directeurs sportifs
Julien Jurdie et Vincent Lavenu