Trek Factory Racing

Je suis prêt à répondre à vos questions.

Nos objectifs sont donc de cartonner sur les premières classiques de l'année à savoir Milan-San Remo et les Flandriennes avec Fabian Cancellara. Le recrutement sera du coup axé sur ces courses et sur la plaine en général.
Faire de Radioshack la meilleure équipe continentale, mais surtout la meilleure équipe au monde sur le plat à la manière de la Quick-Step de Museeuw et Boonen, voilà notre vrai objectif.

Ces deux arrivées font en effet du Team Trek la meilleure équipe sur le papier pour les classiques printanières. Ladagnous, Kristoff, Gallopin et Rast sont autant de superbes équipiers pour mener Cancellara vers les sommets en mars/avril.
De plus Kristoff apporte une plus value non négligeable grâce à sa grosse pointe de vitesse.

Cependant je ne parlerais pas d'immobilité car nous cherchons toujours activement un grand sprinteur, et puis vous savez, nous ne manquerons pas la moindre opportunité. Par exemple, l'arrivée de Samuel Sanchez n'était pas spécialement dans nos plans mais elle devrait pourtant se faire dans les toutes prochaines heures.

Etes vous au courant qu'il n'y a que quelques courses pavés ? Au vue de vos objectifs c'est pas très malin

Je renonce au top 10 sur le Tour, vous l'aurez compris. Quant au classement Continental, c'est mon objectif, on en reparlera quand vous aurez compté combien rapportent 3 classiques pavées WT + l'Eneco Tour + Les 4 Jours de Dunkerque. Puis ajoutez à cela les points que me rapporteront des garçons comme Kristoff, Gallopin et Ladagnous même en dehors des pavés, sans oublier de compter Monfort, Jungels et Busche qui feront de très bons leaders en continental sur des courses par étapes.

J'ajouterai d'ailleurs que mon objectif secret est de remporter le GP de Québec, c'est une affaire personnelle. De même, on viendra sur la Vattenfall, Milan-San Remo, San Sebastian, Plouay avec nos supposés coureurs bons que pour quelques courses et on fera au moins top 10 sur chacune d'entre elle, en en gagnant une au passage.

Si on remplit juste cela on sera déjà tout près de la première place, mais ça, c'est seulement un petit quart de notre programme !

Cette première sortie est mitigée mais ne tombons pas dans les extrêmes. Le GP de Marseille n'est pas le rendez-vous de l'année, on y va plus pour se préparer qu'autre chose. Et puis personne n'a crevé l'écran dans notre division sur cette course, on a même pris de l'avance sur notre concurrent numéro un pour le titre, Colombia.

On tirera des premiers bilans après Paris-Roubaix, et c'est là qu'on saura réellement où on en est.

On s'est fixé un objectif : tenter de rester leader du classement continental du début à la fin de la saison. Ca sera dur mais si on prend assez de marge jusqu'au Tour du Luxembourg, on devrait résister aux grandes courses par étapes et nous refaire la cerise en août avec l'Eneco et le retour des classiques.

Pour le classement World Tour, il faut être lucide et reconnaître qu'un top 10 serait déjà une bonne performance. Un top 5 serait une immense satisfaction et on pense en être capable avec un soupçon de chance, mais viser les sommets, c'est irréaliste. La Sky est trop loin.

C'est une excellente surprise ! On était venu pour un top 10 de Gallopin, mais Tony a échoué à la 12e place. Cette mini-déception est largement compensée par la performance collective de l'équipe. Nathan Haas nous montre qu'il est devenu un coureur important, et Samuel Sanchez confirme qu'il sera une pièce maîtresse de la Trek Factory Racing.

Ces dossards jaunes sont avant tout le signe que nous sommes toujours largement au niveau World Tour malgré la décision de l'UCI de nous reléguer au rang continental. Je salive d'avance d'arriver à Paris-Nice et Tirreno-Adriatico où nous espérons frapper de grands coups, avec Gallopin, Jungels, Stetina et Ladagnous en France puis Monfort, Cancellara, Viviani, Boeckmans ou encore Sergent en Italie.

Avec cinq victoires dans le mois de février, Tony Gallopin est le cycliste le plus prolifique du début de saison. Trek est fière d'annoncer officiellement qu'il terminera sa carrière au Luxembourg.

C'est un malentendu. Il finira sa carrière dans l'équipe luxembourgeoise Trek Factory Racing, mais la date de la fin de carrière n'est pas d'actualité, Tony ayant bien une dizaine d'années de gloire devant lui.

Il a signé un contrat à vie. Il sera donc à jamais un coureur de la Trek, puis il deviendra membre du staff, puis directeur sportif, manager général et enfin Président du Luxembourg.